Grande Loge Côte d’Ivoire
Fraternité, éthique et solidarité au cœur de nos actions.


Notre Mission
Notre mission est de promouvoir le développement moral, intellectuel et social de nos membres, tout en contribuant positivement à la société ivoirienne. Nous œuvrons pour renforcer la fraternité, encourager la réflexion, soutenir des actions solidaires et favoriser un cadre d’échange fondé sur le respect, la tolérance et la quête d’excellence humaine.
- LES PRINCIPES MAÇONNIQUES
- La Fraternité : Ensemble pour Grandir
- Les valeurs de la loge
- Le développement personnel des membres
- L’initiation : Le début d’un chemin
Historique
La franc-maçonnerie ivoirienne puise ses racines dans la période coloniale, quand des loges affiliées aux grandes obédiences européennes s’implantent progressivement en Côte d’Ivoire. Au début des années 1930, Abidjan voit la fondation d’une loge liée au Grand Orient de France, baptisée « Fraternité africaine ». Quelques décennies plus tard, en 1957, c’est la Grande Loge de France (GLDF) qui ouvre sa propre loge en Côte d’Ivoire, nommée « Concorde universelle ». Après l’indépendance en 1960, les différentes loges maçonniques présentes en Côte d’Ivoire notamment celles affiliées au GODF et à la GLDF entament un processus de fusion : en 1961, la loge « Fraternité africaine » du GODF et trois loges de la GLDF (dont Concorde universelle) décident de s’unir pour former une obédience nationale. Toutefois, malgré cette fusion, la Grande Loge de Côte d’Ivoire (GLCI) n’est officiellement déclarée qu’en 1989, consolidant ainsi une franc-maçonnerie « régulière » et indépendante, revendiquant des liens avec la Grande Loge Nationale Française (GLNF) et la Grande Loge Unie d’Angleterre (GLUA).
Parmi les figures majeures de cette histoire, Clotaire Magloire Coffie apparaît comme un des fondateurs les plus emblématiques de la GLCI. Après son décès, Hamed Bakayoko, alors ministre, lui succède à la tête de la GLCI, soulignant l’influence politique de la franc-maçonnerie dans le pays. Puis, en 2021, Sylvère Koyo est nommé Grand maître par intérim, avec parmi ses objectifs la réforme des textes constitutifs de l’obédience maçonnique ivoirienne.
Sur le plan sociétal, la franc-maçonnerie en Côte d’Ivoire est souvent perçue comme une institution élitiste, avec des liens étroits avec les sphères politiques et économiques. Certains chercheurs décrivent une « constellation » d’obédiences, divisées entre maçonnerie dite « régulière » et maçonnerie libérale ou adogmatique.
Aujourd’hui, la franc-maçonnerie ivoirienne est bien implantée, mais continue de naviguer entre tradition initiatique et enjeux éthiques.
Membre de l’administration
Clotaire Magloire Coffie (Père fondateur)

Clotaire Magloire Coffie était le fondateur et grand maître de la Grande Loge de Côte d’Ivoire (GLCI), un rôle qu’il a occupé pendant près de deux décennies.
Hamed Bakayoko (2017 – 2021)

Hamed Bakayoko, ancien Premier ministre de Côte d’Ivoire, a été le Grand Maître de la Grande Loge de Côte d’Ivoire (GLCI) à partir d’avril 2015, succédant à Clotaire Magloire Coffie, décédé en janvier 2017
Sylvère Koyo (Début 2021 par intérim)

Sylvère Koyo a été officiellement installé Grand maître de la Grande Loge de Côte d’Ivoire (GLCI) le 23 avril 2022 à Abidjan, en présence de nombreuses délégations maçonniques venues d’Afrique, d’Europe et d’Amérique du Nord.
N’Guessan K. Julien (Secrétaire général)

N’Guessan Julien, secrétaire général reconnu pour son sens de l’organisation et son leadership discret mais efficace, incarne une figure centrale au sein de la loge.
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